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"Un enfant - deux parents"
Il y a tous les ans 80.000 divorces avec enfants en France. Dans plus de 90% des cas, la garde des enfants est confiée à la mère et dans bien trop de cas au détriment de l’intérêt de l’enfant. La gestion judiciaire des affaires familiale est à l’origine de la plus grande inégalité entre les genres de ce début de siècle en France. La relation père-enfant, le projet parental originel, le bien-être des enfants, les droits des pères sont systématiquement sacrifiés à des pratiques institutionnelles borgnes parfois instrumentalisées par les femmes pour obtenir l’éviction du conjoint lors de la rupture du projet conjugal.
Ce dossier a pour but d’explorer les tenants et les aboutissants de ce scandale permanent qui laisse les phalocrates satisfaits et les féministes muettes, mais qui frappe chaque année des dizaines de milliers d’enfants.
Cette rubrique sera alimentée et modérée par des bénévoles de l’association "1 enfant 2 parents", ainsi que par les témoignges des visiteurs et des visiteuses.
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Le parti-pris du féminalisme "d’Envoyé Spécial"
23 décembre 2004
Envoyé Spécial du 30 septembre 2004 (France 2) tombe dans le piège du féminalisme dans cette affaire qui déchire une mère française et un père américain au sujet de la garde de leur enfant.
Le "féminalisme" est cette conception des choses, finalement assez compatible avec le machisme, qui consiste à penser que c’est aux femmes, de s’occuper des enfants, fut-ce au détriment de ces derniers.
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La Déclaration de "Un enfant-deux parents"
30 juillet 2004
L’association « Un enfant-deux parents » a été créé à l’initiative de pères dont la seule revendication consiste à demander de pouvoir exercer dignement et pleinement leur rôle de parent, en maintenant un lien constant et effectif avec leurs enfants, malgré une séparation ou un divorce.
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18/5/05 à 20h Conférence-Débat "La fin du dogme paternel"
17 mai 2005
L’école lacanienne de psychanalyse présente une discussion autour du livre
Fin du dogme paternel
de Michel Tort.
(Aubier, psychanalyse, février 2005)
Philippe Koeppel nous propose l’argument suivant : Michel Tort fait partie des élèves de l’Ecole normale supérieure qui, au début des années 1960, (...)